dimanche 28 décembre 2008

C'était 2008, un bilan personnel #3: Un homme et une femme

L'avenir nous dira si Barack Obama, le futur président des USA sera un grand homme d'État, ou juste un excellent communicateur, un brillant orateur, et un animal politique hors pair. Une chose est sûre il est l'homme de 2008. De sa course perdue d'avance lors des élections primaires Démocrates, jusqu'à son élection quasi triomphale le 4 novembre dernier, il a animé la vie politique aux USA, et inspiré de nombreux commentaires et de nombreux enthousiasme de par le monde. L'élection d'un noir à la présidence des États Unis, évènement historique, marque sinon un tournant, du moins un profond changement dans les mentalités de ce pays où le racisme et la ségrégation étaient encore un mode de vie il y a un demi-siècle de cela. Bonne chance mister president.
Barack Obama est l'homme de l'année pour moi, et cela dans une dimension beaucoup plus large que ma petite personne. La femme de l'année, c'est toute autre chose. Si la femme que j'ai choisi de mettre en avant en cette fin 2008 est la femme de l'année, c'est avant tout pour moi, et juste pour moi. Il y a peu de chance que Time, Neewsweek ou un autre hebdo la mette en couverture. Pourtant, elle a changé ma vie, pour le meilleur, et si dans 50 ans, en espérant que je sois encore en vie, je me penche sur cette année 2008, je pense que c'est à elle que je penserais avant tout. Pas aux bouleversements politique,s pas aux films sortis cette année, pas aux séries que j'ai regardées, mais bien à elle, à la façon dont elle est entrée dans ma vie, et à la façon dont tout, au cours d'une soirée, à changé. En un mot comme en cent: Delphine Millon, vous êtes ma femme de l'année.

samedi 27 décembre 2008

Un coup d'oeil dans le rétro, juste pour faire le bilan #2: Who are you ?

Du grand au petit écran pour ce deuxième volet du presque traditionnel bilan de fin d'année de ce blog. Parlons séries donc. L'année 2008 a été marquée par les conséquences de la grève des scénaristes de l'hiver 2007-2008. La production US, déjà en baisse de qualité depuis un ou deux ans, à connu une saison écourtée pour la plupart des séries. Comme beaucoup d'autres sériephiles, j'ai donc traversé l'atlantique dans l'autre sens pour trouver mon comptant de fictions télévisuelles. Non je ne vous parlerais pas des séries françaises, qui ont connu pourtant une belle année. La seconde saison d'Engrenages s'est montrée bien plus intéressante que la première, Clara Sheller est revenue en forme, Kaamelott pour son livre V a franchi un cap, et j'attends avec impatience la saison 2 de Reporters. Non, ce n'est pas en hexagone que j'ai choisi la série de l'année 2008, mais dans la perfide Albion.
Dr Who est une institution télévisuelle en Angleterre, un monument de la pop culture, un incontournable du petit écran. Un objet télévisuel hors norme qui n'a pas trouvé grâce aux yeux des programmateurs français. Hier comme aujourd'hui. La saison 4 de la nouvelle série, la dernière menée par Russel T. Davies, a été un vrai grand moment, et pas seulement lors de son final grandiose. En attendant la saison 5, pas avant un an, avec un nouveau docteur, et un nouveau showrunner, l'excellent Steven Moffat, et juste après le spécial Noël diffusé il y a deux jours, je vais me faire un plaisir de revoir cette saison 4.
Il y a quelque temps de cela, je déplorais l'absence de certaines séries des rayons DVD. Je faisais une liste des séries que je souhaitais voir débarquer sur le support vidéo numérique. Dans cette liste je ne parlais pas de My So Called Life, Angela 15 ans, peut être la série qui parle le plus justement de l'adolescence. Ce petit bijou télévisuel, trop court puisqu'arrêté après 18 épisodes, a marqué la mémoire de tous ceux qui l'ont vu lors de sa diffusion, il y a de cela presque 15 ans. Enfin disponible en DVD, et donc accessible à une toute nouvelle génération de téléspectateurs, My So Called Life va faire oublier toutes les séries ados vues dernièrement. Une bonne nouvelle pour cette fin d'année.

vendredi 26 décembre 2008

Et revoilà les bilans de fin d'année #1: Cinéma Cinémas

Quand l'heure tourne, quand les années filent, l'homme se tourne vers son passé récent et se demande ce qu'il gardera en mémoire de l'année écoulée. Homme je suis, et donc je vais une nouvelle fois me livrer à l'exercice du bilan de fin d'année.
Cette année fut riche en films, et en bons films. Mais, il faut reconnaître qu'une nouvelle fois le cinéma hexagonal n'a pas brillé par son originalité, son audace, et son talent. ce n'est donc pas du côté du cinéma français que je vais chercher mon film de l'année. J'aurais pu choisir un film espagnol, comme L'orphelinat ou Rec, deux bombes cinématographiques, mais je vais aller du côté d'un blockbuster US, pour une fois, et ce sera donc Hellboy 2 qui obtient le premier trophée de ces bilans de fin d'année. J'ai déja dit tout le bien que je pensais du film de Del Toro, et pour ceux qui ont raté un épisode je vous renvoi à la vidéo critique du film. Pas besoin d'en rajouter.
Comme je ne peux pas tout voir au cinéma, il m'arrive de rattraper des films sur un support numérique connu sous le nom de DVD. Le film en DVD de cette année est donc un film de Will Ferrell, puisque les comédies mettant en scène cet acteur extraordinaire n'ont pas encore, et l'auront-elles un jour, la chance de connaître une sortie en salle digne de ce nom. Les patins de la Gloire, dernière comédie à sortir en DVD. Je pourrais au côté du grand Will mettre la plupart des comédies US baignant dans le même esprit (potache, décalé, irrévérencieux) de la bande à Apatow: Forgeting Sarah Marshall, SuperBad, Knockep Up... Rappelons qu'en temps de crise, il est bon de rire parfois.

jeudi 25 décembre 2008

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