mercredi 28 mai 2008

Dans ma DVDthèque #5: Ta da tatata da

Nouvelle excursion dans ma DVDthèque, et petite visite du cabinet d'avocats où officie le génial Denny Crane.



jeudi 22 mai 2008

Les heros ne meurent pas...

... mais vieillissent mal, comme le démontre le quatrième volet de la saga Indiana Jones

mercredi 21 mai 2008

Le visiteur du soir

Je fais parfois des rêves de fin du monde qui me laissent un drôle de goût dans la bouche au matin et me collent à la peau toute la journée, et puis de temps en temps je fais des rêves qui me donnent le moral, qui me font du bien, qui m'accrochent un sourire à la face pour des heures, et que les petits tracas du quotidien et du boulot n'arrivent pas à effacer.
Dans cette catégorie de rêves il y a en tête ceux dans lesquels je revois mon grand père maternel, mort il y a déjà une majorité. Si pendant mes moments d'éveil j'ai du mal en pensant à lui, et il ne se passe pas une journée où je ne pense pas à lui, j'ai du mal à me remémorer ses traits, sa voix, après 18 ans tout ces souvenirs sont de plus en plus flous, dans mes rêves il m'apparaît parfaitement. Comme sur les photos que je garde de lui. Il y a sa voix aussi, et même son odeur, odeur de foret et d'embruns.
Dans ces rêves souvent nous nous disons à quel point nous nous sommes manqués, nous nous serrons fort dans les bras l'un de l'autre et nous rattrapons le temps perdu en nous racontant des choses sans importance, je lui raconte ma vie, il m'écoute, il sourit, il est heureux, et moi aussi.
Après ses rêves, au matin, je ne suis pas triste en me disant que ce n'était qu'un rêve, que jamais plus je ne parlerais de ma vie à mon grand-père, que jamais plus je ne sentirais son odeur, n'entendrais sa voix, ne le verrais sourire. Au contraire, je suis heureux, même en rêve, de l'avoir revu, de lui avoir parlé, et je me dis qu'il n'y a pas de raison que je ne le revois pas, dans un autre rêve, dans quelques jours, quelques semaines, quelques mois, et je lui redirais qu'il m'a manqué, je l'embraserais à nouveau, et nous reprendrons notre conversation là où le réveil l'avait interrompue.

jeudi 15 mai 2008

Dans ma DVDthèque #4: To boldly go

Petit tour dans ma DVDtèque, et cette fois-ci avec de vraies images de ladite DVDthèque.



jeudi 8 mai 2008

Dans ma DVDthèque #3: Mrs Peel

Une nouvelle excursion dans ma DVDthèque, à la rencontre de la belle Emma



lundi 5 mai 2008

What the fuck

La France est depuis longtemps une contrée maudite en ce qui concerne les éditions DVD des séries. Alors que nos voisins Belges ont eu droit à de très beaux coffrets pour Babylon 5, Buffy, Angel et autres, à des prix plus attractifs, en France, l'amateur de série doit souvent se contenter d'édition au rabais, mais au prix fort.
Dernièrement Charlie Jade, série certes confidentielle, mais de grande qualité, est sorti dans une édition sans sous-titres. Cette fois-ci c'est le bon Docteur qui est traité avec le plus profond mépris. La France, le seul pays à ne pas avoir diffusé le Docteur original, diffuse déjà la série dans des conditions discutables (la VO n'est pas toujours au rendez-vous) mais en plus les éditions DVD sont pitoyables. Abencesd e bonus, alors qu'ils sont pléthores sur les éditions britanniques et Us, absence des épisodes « spécial Noël » dans les coffrets des saisons 2 et 3, mais de plus, le coffret de la dernière saison ne comporte même pas de VO. Une honte totale quand on sait que pour l'amateur, le DVD est souvent la seule façon de voir une série dans de bonnes conditions. Priver une édition DVD d'une série d'une piste VO est une aberration, une preuve supplémentaire de l'incurie des éditeurs vidéo français, et une raison supplémentaire pour les amateurs de se tourner vers le téléchargement.

samedi 3 mai 2008

You are not funny anymore

Deuxième fournée de critiques en vidéo.



jeudi 1 mai 2008

Du poivre, et un tout petit peu de sel

J'ai eu un choc terrible il y a peu. J'ai trouvé un poil blanc dans ma barbe. Ce petit détail n'a l'air de rien, un seul et unique poil blanc au milieu de ma barbe de jais. Pourtant, il a ébranlé ma bonne humeur au début de mes vacances. Je sortais d'un rendez-vous chez mon ophtalmo qui m'avait rassuré, ma vue n'avait pas bougé depuis ma dernière visite, huit ans plus tôt. Signe rassurant prouvant que le lent travail de sape des années qui passent ne m'avait pas trop touché à quelques mois de mon 35e anniversaire. J'allais donc le coeur léger, quand au détour d'un miroir, il m'est apparu, là, juste sous mon nez, impossible de le rater, il me nargue de sa blancheur éclatante. Pince à épiler, arrache illico, et retour à une noirceur totale. Mais difficile d'oublier cette vision d'horreur.
Les poils ou les cheveux blancs ne m'ont pas toujours fait peur. Dans ma jeunesse, maintenant lointaine, je rêvais d'avoir les cheveux blancs de Jim Phelps, le leader de l'équipe de Mission: Impossible. Je trouvais ça super classe. Quand dans Twin Peaks, Leland Palmer, voyait sa chevelure devenir blanche dans la nuit, je me disais que c'était un phénomène super cool, et que ça serait super chouette si ça m'arrivait.
C'était hier, et aujourd'hui ce poil blanc n'a rien de cool, ni de classe, il est juste le premier, et il va faire des petits. J'ai à peine 35 ans, je n'ai pas l'age d'avoir une toison poivre et sel, j'aime mes cheveux noirs, et je compte les garder longtemps, quitte à me teindre.
Aller demain je vais m'acheter du cirage. Du noir.

Articles plus récents Articles plus anciens Accueil