lundi 19 février 2007

MW

J’aime beaucoup Martin Winckler. Comme ça c’est clair, et ceux qui ne le supportent pas peuvent passer leur chemin parce que je ne vais dire que du bien de lui.
J’ai découvert MW comme beaucoup de monde en lisant La Maladie de Sachs. Ce livre est devenu l’un de mes préférés, et je le relis régulièrement (tout comme je regarde régulièrement l’adaptation cinématographique avec Albert Dupontel). Comme souvent, quand j’apprécie un auteur je cherche à lire ses autres livres. C’est alors que je me suis aperçu que non seulement il était romancier, médecin, mais qu’en plus comme moi il aimait les séries télé. L’un de ses premiers ouvrages était d’ailleurs consacré à Mission: Impossible.
Depuis La maladie de Sachs j’ai lu tous les livres de MW (à l’exception des ouvrages médicaux), et ça demande du boulot, parce que le bougre écrit beaucoup, des romans bien sûr, mais aussi des documents sur des sujets divers (les séries télés, les super héros, Zorro...) des recueils de chroniques (celles de France Inter (qu’a l’époque j’écoutais chaque matin en me réveillant, et que par jeu je parodiais sur le forum du Sub Espace, parodies qu’il a eues a gentillesse de publier sur son site perso) ou celles d’Arte radio) et des nouvelles.
Dernièrement, après une année 2006 bien calme, il est revenu en librairie avec trois livres, un consacré aux droits des patients (Les droits du Patient, Ed Fleurus) un autre sur ses plaisirs culinaires (À ma bouche, Coll. Exquis d’Écrivains, Ed. Nil) et un troisième sur les séries (Le Meilleur des Séries 2007, Ed Hors Collection). Trois raisons de passer du temps à lire.

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